Le pain de la bouche
17 février 1993
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Résumé
Librement inspirée du conte Hansel et Gretel des frères Grimm, cette nouvelle pièce de Joël da Silva, produite par le Théâtre de Quartier, raconte une histoire de nourriture qui s'écoute la bouche ouverte...
Par un soir d'hiver, un vieux bûcheron meurt le nez dans sa soupe. C'est l'occasion, pour ses deux enfants, de revenir à la maison et de redécouvrir leur enfance tout en faisant le partage des biens. Le fils hérite du piano, la fille, du violon. Avant de mourir, le père avait demandé qu'on aille enterrer ses cendres auprès de celles de son épouse, disparue avant lui, sous la cabane à sucre, à l'autre bout de la forêt. Au cours de leurs pérégrinations, les deux enfants devront traverser une forêt pleine de dangers et de surprises. Ils rencontreront trois pigeons, un ours et, dans la cabane à sucre, une sorcière parfaitement cinglée, comme il se doit, qui préparera un pain noir un peu particulier...
Ce conte humoristique et poétique, qui s'adresse tout autant aux enfants de six ans et plus qu'aux adultes, témoigne, d'une façon toute fantaisiste, de notre propre voracité et de notre peur viscérale d'être mangés.
Par un soir d'hiver, un vieux bûcheron meurt le nez dans sa soupe. C'est l'occasion, pour ses deux enfants, de revenir à la maison et de redécouvrir leur enfance tout en faisant le partage des biens. Le fils hérite du piano, la fille, du violon. Avant de mourir, le père avait demandé qu'on aille enterrer ses cendres auprès de celles de son épouse, disparue avant lui, sous la cabane à sucre, à l'autre bout de la forêt. Au cours de leurs pérégrinations, les deux enfants devront traverser une forêt pleine de dangers et de surprises. Ils rencontreront trois pigeons, un ours et, dans la cabane à sucre, une sorcière parfaitement cinglée, comme il se doit, qui préparera un pain noir un peu particulier...
Ce conte humoristique et poétique, qui s'adresse tout autant aux enfants de six ans et plus qu'aux adultes, témoigne, d'une façon toute fantaisiste, de notre propre voracité et de notre peur viscérale d'être mangés.